Grand huit
Z'avez remarqué ?
Sur ce blog, plus ça va, plus je cause.
Avant, je privilégiais l'image, la découverte d'un peintre, d'un designer, le partage du beau.
Et là, là, je me rends compte que mon nombril l'emporte ! Et vas-y que je tourne autour, et que je regarde un peu dedans, on sais jamais, si j'y découvrais un petit miroir. Et si telle Alice, je passais de l'autre côté...
Ouh, bon, sang, on se reprend, on nage en pleine science-fiction là.
Alors, du coup, le Nain, on fait quoi ?
J'installe un rétroviseur à nombril ? Histoire de bien voir ce qui s'y passe ? De me dérisionner toute seule ?
Ou alors je mets un bouchon... Hop là, on en parle plus. J'arrête de me le regarder, et on revient à nos moutons.
Beeeh, d'abord, y va falloir qu'on mette les choses au point. Parce que, tout, vous saurez vraiment tout, des nombrils, j'en ai deux.
Ouais.
Un normal, naturel, civilisationnel.
Et puis un autre, au-dessus du premier.
Si, si.
Blague facétieuse d'un chirurgien farceur, qui trouva sans doute fort à propos, dans un concert instrumental, de simuler sur mon auguste devant la trace d'une seconde naissance chirurgicale.
Du coup, lorsque je tourne autour de mon nombril, et ben j'ai l'impression d'un infini... Rien que ça.
Heureusement, au-delà de ce grand huit permanent, le circuit se prête à l'auto dérision.
Et tant qu'à faire dans l'auto, et bien le rétroviseur fait partie du lot.
Alors on va dire qu'on va naviguer encore un peu. Multiplier les axes de vue, tourner autour du pot.
Bref, loucher sur le devant, doubler sur l'inconscient, mettre mes deux pieds dans le même cabot.
Et continuer à blablater ici encore quelque peu, rigoler et faire de "l'Histouère".
Mais aussi présenter, partager, poétiser et planer en planisphère.
*
Bon, et sinon, aujourd'hui, c'est mon sairesaire.
Nan ?
Si.
Croyez qu'un nombril ça peut faire porte-bougies ?
Chiche...
X 2