Sur l'écran noir...
Bon, ces derniers temps, malgré les lumières, c'était un peu sombre ici non ? La râlerie, c'est pas que j'aime pas de temps en temps, mais faut dire les choses comme elles sont, ça atténue les couleurs.
Et comme j'ai plutôt tendance à apprécier le côté lumineux de la force...
On revient à des aubes plus claires et des crépuscules ensoleillés.
Faut dire que je suis un peu aidée...
Ouais, j'avoue, j'ai un nouveau jouet !
En bonne famille geek, à savoir peu portée sur l'aspect ménager (l'aspirateur date de Mathusalem et la pelle à ramasser la poussière affiche 100 ans d'âge -cela dit, elle est belle-), mais dotée de sept ordinateurs.
Ce qui signifie que de temps en temps, on intervertit les écrans, on échange des câbles, on mélange les claviers, histoire d'avoir l'impression de renouveler la maison quoi.
Du coup, là, c'est juste le bonheur parfait.
A savoir que je viens de donner à ma Bounette mon écran d'ordinateur, certes pas mal, et que j'ai récupéré en contrepartie l'écran autrefois (enfin y'à 10 minutes) dévoué à la diffusion des docus et autres films. Soit un immense machin en haute def tellement large que t'en a les yeux qui pétillent.
Du coup, après moult toussotages dûs à la mission post-dépoussiérage (Dieu sait qu'on accumule des moutons derrière ces trucs là, une vraie bergerie !), j'ai allumé la bête et.... Wouah !
Bon sang de bois, c'est Dallas.
Bon, on fait abstraction de la rayure du milieu, due à la main ciseautée de la susdite Bounette, que je lui échange volontiers contre un machin non identifié (confère les moutons plus haut) que je n'ai jamais réussi à décoller du précédant écran.
Faut dire que j'en avais rêvé de ce truc. Ben oui tient, quand je dépouille des archives, avoir le parchemin photographié ET le document word à côté, c'était pas possible avant. Maintenant, je vous dis que ça, c'est Byzance. Déjà que j'étais plutôt scotchée, là, il va falloir me désincarcerer...
Le risque, cela dit, ça va être le trop plein maintenant. Moi qui avais un peu beaucoup tendance à ouvrir 12 000 pages en même temps, histoire de contenter la balle rebondissante qui me sert de pensée, là, je sens que je vais bientôt pouvoir me (re)mettre au squatch.
Rien que ça.
On est peu de chose parfois :0)
Youhou !