Bonnannée
Alors, ces voeux, ces voeux, on fait quoi ?
Bon, j'aime bien la version classique, toute jolie, avec des petits mots gentils. C'est celle qui permet d'exprimer ce que l'on a parfois, par pudeur, plus de mal à dire ailleurs.
Et puis il y a la version nain... Vue du haut du frigo, ou du fond du bassin. L'effet Matrix du voeux. Entre histouère et polésie, poilade et fantaisie.
On ne se refait pas hein...
En 2012, on pouvait faire rimer la chose avec de multiples petits trucs rigolos : blouse, loose (in angliche), bouse ou Toulouse...
Un petit côté mère Deschiens non ?
Pour 2013, on était encore à l'aise Blaise, avec ou sans L... Voire aux fraises avec des punaises, à la poulette basquaise.
Celle là, de fraise, vous y croyez vous, c'est la "triomphe de Hollande", si, si. Peut-être faudrait-il en planter dans les jardins de l'Elysée...)
Mais 2014, alors là, je vois pas. Internet non plus d'ailleurs (dingue, y'a même des pages sur "les mots finissant par")...
Enfin si, je vois très bien, plongée que je suis dans l'univers louis-quatorzien des jardins.
Alors on va dire ça, 2014, je vous la souhaite à la Louis XIV !
Solaire, grande en siècle, hortiésienne et triomphante.
Bonnannée !
*
Ah, sinon, au fait : merci d'être là...
Et pour ça, chapeau bas !
Mes révérences les plus profondes vous accompagnent...
Et mes voeux aussi.